Je commence l’épisode 6 par une bonne nouvelle : VISIONS quand la terre nous parlera est en ligne.
Les mois qui suivirent, j’ai écrit les quarante-sept premières pages de l’aventure, puis j’ai fait une pause de plusieurs mois, plus précisément, d’un peu plus d’un an.
Pendant ce laps de temps, j’ai travaillé sur Coucou la mort, qui n’est pas une œuvre d’anticipation mais une autofiction.
L’autofiction comme l’autobiographie ne suit pas les mêmes mécanismes que l’anticipation, mais il y a tout de même un point commun : dans les deux cas, il existe un terreau sur lequel le roman se construit. Dans le premier, le terreau est la vie de l’écrivain, tandis que dans le second, pour moi, c’est la science.
J’ai repris Vision quand la terre nous parlera en janvier 2024 et je ne l’ai plus lâché. J’avais un point de blocage à surmonter : j’avais un héros, Luca (sans « s »), mais j’ai compris qu’il me fallait aussi une héroïne, Gina et comme d’habitude, tout cela est venu en dormant.
